| | Date d'inscription : 08/08/2016 | Lun 22 Aoû - 23:21 Pseudo Feat : Akaashi Keiji - Haikyuu! Âge du personnage: 28 y.o Groupe : Béni Jour d'arrivée : 14 jour Jour de disparition sur Terre :24/10/1980 Ancienne occupation :Vendeur en jardinerie Métier sur Terra :paysan (mais il préfèrerait être dompteur de renard) Guilde : à remplir par le staff Quartier :Fusion Choix de la difficulté:cauchemardesque Code règlement : 42 muffin parfait :3 | Vœu Explication :Puisque Ceto s’étouffait dans son propre passé, effrayé de son futur, et incapable d'affronter le présent sous le poids de ses remords, il souhaita que ses dettes soient effacées. Repartir de zero et désintégrer le moindre de ses précédents regrets. Restriction :Le staff viendra te proposer trois restrictions, si l'une d'elle te plaît tu pourras changer ce paragraphe ici par cela ou alors si tu as une idée précise tu remplis déjà et tu attends de voir si ça passe ! | L'apparence de ton personnage. | |
| Son caractère et ses manies, ses phobies etc. |
Histoire - panser une plaie avec une autre:
Dans ses bras le ballotin était si petit. Emmitouflé, des langes qui recouvrent le petit ange. Elle dormait déjà. Il avait le sourire crispé, nerveux de cette nouvelle responsabilité. Jamais de sa vie il s’était dit. La vie elle…ça ne valait pas le coup.
A chacun de ses pleurs il ne lui en voulait pas. A chacun de ses caprices, il les lui passait. A chaque question, il n’avait pas la question, exprès. Le monde est bien cruel envers la vie. Il aurait aimé la savoir endormis à jamais, sans jamais ne l’avoir vu. Il aurait aimé pouvoir oublier un sourire qui ne sait rien. L’ignorance de l’enfance.
Offrir une famille à son anniversaire. Des peluches roses auxquels faire la conversation lorsqu’il n’est pas là. Parce que les filles aiment le rose. Il suppose. Il supposa tout le reste aussi.
Il n’a jamais été homme à se soucier d’autrui. Après tout… C’est ainsi.
Il lui manque le...
Ceto se rappel des sourires de sa mère, à moitié camouflés par les pages d’un vieux livres. Oh ils étaient si jolis, plein d’amours envers les pages remplies d’histoire. Les pages tournaient des heures durant…
J’ai si faim.
Il lui manque le... Elle, derrière l’appareil. Il ne se rappel plus de son visage. Il connait mieux les courbes de son corps que celles de ses rires. Et surtout,
Celle du ventre qui s’arrondit et s’arrondit et s’arrondit… A ce moment là il n’en appréciait plus aucune, de ses anciennes courbes chérie. Il comprit alors. Ah c’est bien vrai. Lui qui ne se repose jamais…même pas épaules contre épaules, tout son poids bien ancré au sol.
C’est si fatiguant, il envie ceux qui peuvent simplement s’affaler dans les bras d’autres.
C’était tel, un étranger pour eux deux. Il aurait été plus facile, sûrement, de passer tout les détails à la benne. Puis faire comme si rien n’était survenu. Rien du tout.
Mais Il avait toujours faim. Jusqu’à ce que la nuit tombe parfois elle lisait.
Il pensait alors : ah, que se devait être bien d’avoir autant de pouvoir, de pouvoir blesser et soigner tout à la fois. Avec le moindre petit geste. Un regard. Être l’héro et le bourreau.
Et Il se demanda alors : ah, il serait parfait d’avoir son plat toujours collé à soit. Telle une partie de moi. Ce regard qui se relève pour croiser le votre, plein d’espoir, plein d’amour, plein de pardon.
Il l’admirera jusqu’à sa tombe. Son propre regard, oui il se demande bien vu de haut à quel point il peut-être réjouissant ? Il ferma le couvercle de la probable poubelle.
Il se trouva si fort en cet instant sans savoir. De sa petitesse et de son inadéquation on lui pardonnerait tout. Lui, et le droit à la rédemption. Il le sut en la tenant dans ses bras. Il s’agissait de la première fois après tout. C’est là, en cet instant, qu’il comprit enfin. Enfin, enfin voilà venu le temps.
Il fit de son mieux. Mais sont fort intérieur, constamment, lui murmurait que c’était insuffisant. Il doutait de ses rires. Il se demandait, oui, si elle pensait comme lui à son âge. Si elle mordait ses lèvres de frustrations après un ‘non’, une fois son dos tourné.
Ceto se paralysait à ses cries, aux larmes. Il avait si peur. Dans le miroir il n’y avait que le visage de celle qu’il admirait. Et bizarrement auquel il ne voulait pas ressembler.
Oui une fois dans ses bras pour la première fois il avait comprit. Plongé en ses yeux à peine entre-ouvert. Il se demandait ce qu’il aurait pu ressentir, si elle avait refermé le livre au milieu, l’abandonnant sur le fauteuil.
La réponse se supposa d’elle-même à son esprit. Dieu qu’il aimait cette idée, et l’aime toujours.
- et laisser une multitude béante:
La boîte de pansement vide. Les placards déserts, L’absence de ses pas dans le couloir. Et à jamais les microcoupures, cet épiderme irrité.
La faim tenace tandis que tes dents râpent tes lèvres.
Il ne s’agissait que d’un sens unique, le mirage des milles et uns « si ». Les regrets à en revendre, s’entassent dans son cellier. A quoi bon être homme de raison lorsque celle-ci n’est rien de plus qu’un mensonge éhonté.
J’aurai pu oui…oui j’aurai pu… De serrer le poing. J’aurai du oui…
Les volutes de l’encens laissent un goût acre contre son palet. Il a longtemps travaillé à la dégustation des saveurs acides. L’amertume de ses cigarettes son autant de douceurs qu’une tentation. Venimeuse, voluptueuse, il s’enroulerait dans cette soie de double-jeu pour mieux s’étouffer avec.
Les chaussures, c’était moi. Les vestes, les cravates, l’eau de Cologne, le peigne, les stylos, les paquets de mouchoirs et les cigarettes. Meilleur que les goulots des bouteilles. Si impudent… Fou.
J’aurai tout goûté de toi si j’avais pu. Afin d’apaiser cette faim. Détruire l’image (sacristie secrète). Libre. Libre ! De t’empoisonner. Je t’aurai tué oui, pour survivre. Si je n’étais aussi pleutre.
D’autre l’ont fait chavirer, sans qu’il ne puisse mieux faire que de le regarder sombrer. D’autre bras, d’autres sourire qui te le vole, dérobe tes doigts de son poignet. Il en aurait limé ses ongles à en avoir des serres. S’il n’était pas aussi couard. Cette maladie si répugnante. Répugnante, répugnante, répugnante, répugnante, répugnante. A tel point de ne pas comprendre en quoi.
A l’arrière du vélo il agrippe son pull, peut-être un peu plus fort que les autres, penche son visage contre les mailles. Il rouspétera contre le vent plus tard.
Plus tard…
A mes amours, Et ceux que je n’ai jamais aimés. A ceux qui mériterait de porter le glaive, A l’encontre de mon poitrail. Et ceux auxquels l’ont souhaite de s’endormir ignorant. Je vous aime à m’en tordre le cœur. Je vous en veux. D’exister, de me faire ressentir. De me donner autant de choix et de me forcer à n’en choisir aucun. Ni père, Ni amant, Ni frère, Ni enfant. Si seulement j’avais pu être un simple ventre plein. Une fois encore, encore une fois oui une dernière fois, dieu avait levé le doigt. Encore une fois oui, une dernière fois, encore une fois. Devant le prospectus, devant la boîte aux lettres, devant le pavillon. Un dernier choix Ceto. Au fond du trou. Pour elle, pour lui, pour toi, contre elle. Tant de perspective différente. Tu pris ces quelques mots très au sérieux. Bien que tout le sens de ce pauvre papier ne te parvienne pas encore, au fond de toi, ce toi si irréversible demande réparation. Passé, présent, futur. Quelques mots murmurés, tel un soulagement. Ah enfin le soulagement oui. | Irl Bon voilà ma fiche est jlqfjhqflk ne faite pas attention np np déjà que j'aime pas les fiches de bases mais là en plus j'ai eu un gros blocage, puis j'en avais marre donc voilà voilà, je vous aimes sinon <3 J'espère que ça ira car j'aime vraiment pas faire des histoires avec un début et une fin définie ni quelques chose de trop logique. y_y mea culpa. |
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| | | | Lun 22 Aoû - 23:57 |
| | | Date d'inscription : 13/07/2016 | Mar 23 Aoû - 3:47
la poisse Les compteurs de regrets sont remis à zéro. C’est payé, balayééé, oubliéééé… il se fouuut duuu paaasséééé! Oui, mais s’ils savait seulement ce qu’il se coltinerait par la suite… Parce que chaque jour qui passera pour lui sera un enchaînement de situations malencontreuses. Une série d’incidents mineurs ou de désastres, ennuyeux, tragiques ou simplement ridicules qui s’enfileront comme des boules de loto perdantes dans les rails de ses souvenirs. L’incarnation qui en naîtrait serait la Chance.
sans-gêne Il ne voulait plus de dettes. Plus cette sensation d’être redevable aux autres à cause de sa propre lâcheté, de ses propres échecs. Soit. Il a perdu tout sens de l’obligation. Tout ce qu’on lui offre, il le prend pour acquis. Si Jacques son voisin le dépanne d’un peu de savon, il trouvera normal de se permettre de lui en taxer de nouveau. S’il le reçoit chez lui, la simple idée de rendre cette politesse ne lui traversera pas l’esprit. Et ainsi de suite, avec toutes les conséquences que ça implique... Parce que pour beaucoup, agir comme ça, c’est se ficher du monde. Et en général, le monde aime moyennement qu’on se fiche de lui. L’incarnation née de cette restriction serait le Savoir-Vivre.
perte de l’instinct de survie L’Instinct de survie est cette petite chose qui met en garde l’homme, qui lui intime de se mettre à l’abris quand un danger est imminent. Il est aussi ce réflexe particulier qui éloigne la chair d’un feu, cette alerte qui protège le corps… Et si Ceto s’en trouvait dépossédé? Et si cette petite voix ne venait plus le mettre en garde? L’Incarnation née de cette restriction serait la prudence. Tu as 5 jours pour te décider & terminer ta fiche bon courage 8) |
| | | Date d'inscription : 08/08/2016 | Ven 26 Aoû - 23:01 Merci beaucoup Princesse j'ai eu beaucoup de mal à choisir surtout entre la une et la trois (je joue beaucoup de perso de base du type 2 donc je passe pour cette fois ahah) . Je vais donc prendre la 3 ) désolé pour le délais je suis claqué vraiment en ce moment et très occupé je finis ma fiche demain. |
| | | Date d'inscription : 13/07/2016 | Lun 12 Sep - 19:18 Coucou Ceto, le délai étant dépassé depuis aujourd'hui je viens aux nouvelles. Tu as jusque minuit pour terminer sinon on met ta fiche dans les refusées. |
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